Infertilité : Aimez ce qui vous pique

Comme annoncé le mois dernier, voici un nouvel article signé Jacqueline Comte pour MotherStories sur le désir d’enfant. Découvrez l’ensemble de son travail sur son site Espace Fertile

Bonne lecture

Aimez ce qui vous pique.

Vous connaissez peut-être l’étude menée par un auteur japonais nommé Masaru Emoto concernant les effets de la pensée et des émotions sur l’eau.

Petit résumé de son étude : la pensée « L’eau est maintenant purifiée, merci »  adressée à une bouteille d’eau du robinet placée sur le bureau de Masaru Emoto a fait que cette même eau, vu au microscope, est passée d’un état de déstructuration à une structure cristalline étoilée et géométrique. Avec différents clichés, il prouve que, diverses influences comme celle de la musique ou des mots comme « merci » , « gratitude »  ou « haine », peuvent faire réagir les cristaux par des changements de structure.

Je suis passée par une dizaine de stimulations ovariennes où j’ai dû, obligatoirement, me faire des piqures. Ça pouvait atteindre jusqu’à 3 injections par jour : des piqures pour stimuler les ovaires, celles pour freiner et pour déclencher l’ovulation, d’autres pour mieux accepter l’embryon et finalement, une piqure quotidienne pour fluidifier le sang.

J’ai vu une claire différence entre les fois où j’étais réticente et craintive par rapport à tous ces médicaments injectés, et les cycles où j’étais dans un état d’acception et d’espoir.

Après un certain temps, je me suis fait la réflexion suivante : vu qu’il est prouvé que nos pensées pouvaient faire réagir l’eau, il était certainement possible de faire la même chose avec des médicaments. Avant chaque injection, je prenais alors la seringue dans la main et je lui envoyais des pensées positives.

Je ne vais malheureusement pas pouvoir vous prouver l’effet de mes pensées à l’aide d’images, mais je sais que je n’ai plus eu aucun effet secondaire et j’assimilais le traitement à merveille.

Bien-sûr, il est difficile de s’auto-convaincre d’aimer la chimie que l’on est en train de prendre, de plus lorsque cela passe par des piqures. Mais pourquoi ne pas essayer ? Finalement qu’avez-vous à perdre ?

Vous avez le choix du fameux verre à moitié vide ou à moitié plein. Il est évident que vous êtes obligées d’emprunter un chemin que vous aimeriez éviter. Le fait de devoir passer par la procréation médicalement assistée est difficile à vivre et loin d’être une balade tranquille. Mais au moins, vous avez cette chance de pouvoir profiter de l’avancée de la médecine dans ce domaine, afin de vous aider à réaliser votre rêve de devenir maman.

Alors essayez d’aimer ce chemin et ce qui va avec, pour mettre toutes les chances de votre côté. Je vous assure qu’une attitude positive est déjà la moitié de la réussite, comme illustré par l’image ci-dessus ! 

 

 

Jacqueline Comte
www.espacefertile.com